Auteur:
Stephen
King
Maison
d'édition:
Le
livre de poche
Année
de sortie:
1974
Genre:
Horreur
- Thriller
Nombre
de pages:
282
Synopsis:
«À
dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, Carrie White
vit un calvaire, victime du fanatisme religieux de sa mère et des
moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce
don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien
qu'elle le maîtrise avec difficulté...
Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l'aimer, l'invite au bal de printemps de l'école. Une marque d'attention qu'elle n'aurait jamais espéré, et peut-être même le signe d'un renouveau! Loin d'être la souillonne que tous fustigent, elle resplendit et se sent renaître à la vie. Mais c'est compter sans l'aigreur et la mesquinerie des autres élèves.
Cette invitation, trop belle pour être vraie, ne cache-t-elle pas un piège plus cruel encore que les autres?»
Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l'aimer, l'invite au bal de printemps de l'école. Une marque d'attention qu'elle n'aurait jamais espéré, et peut-être même le signe d'un renouveau! Loin d'être la souillonne que tous fustigent, elle resplendit et se sent renaître à la vie. Mais c'est compter sans l'aigreur et la mesquinerie des autres élèves.
Cette invitation, trop belle pour être vraie, ne cache-t-elle pas un piège plus cruel encore que les autres?»
Mon
avis:
Après
avoir beaucoup aimé «Shining» qui fût ma première expérience
littéraire avec Stephen King, j'ai eu envie de me plonger dans un
autre de ses romans. Ayant beaucoup envie de voir le film tiré du
livre, je me suis plongée dans «Carrie» que me donnait de bons
espoirs.
Carrie
n'a jamais
eu beaucoup d'amis
et n'a jamais
été très populaire
dans son école. Victime
depuis son plus jeune âge du harcèlement de ses camarades de classe
ainsi que de l'obsession
de sa mère pour la religion.
D'autant plus, que Carrie possède le don très étrange, la rendant
capable de déplacer les objets uniquement par la pensée Quand Tommy
Ross l'invite au bal de printemps,
elle croit rêver et s'imagine reprendre une vie normal. C'était
sans compter l'acharnement qu'ont les autres élèves à lui pourrir
la vie...
Autant
le dire tout de suite, j'ai été très
déçue de ce roman.
Bien évidemment, j'ai eu de la compassion
pour Carrie
du début à la fin. J'ai trouvé normal qu'elle réagisse aussi
vivement lorsque le canon de l'école l'invite, au vu de ce qu'elle
endure depuis toujours. Mais j'ai toutefois eu envie
de la gifler plus d'une fois
pour la faire réagir. Je ne vous dévoilerai pas les détails, mais
à
la fin son personnage m’insupportais.
Pareil
pour sa mère.... J'avais carrément envie de la tuer.
L'histoire
quant à elle, était ennuyante
dès le début.
J'ai eu beaucoup
de mal à me plonger dans le récit
tant c'était lent. Ce n'est qu'à
partir de la page 200 que j'ai commencé à apprécier ma lecture...
Plus de la moitié quoi. Autant avouer que du coup, j'ai eu un goût
de trop peu
une fois la dernière page tournée. À
partir du bal, c'était du Stephen King à fond, mais avant
franchement, je n'aurais pas su le dire.
Je
suis par contre, toujours
aussi fan de l'écriture de Mr. King,
pour ça il n'y a rien à redire. J'ai donc bon
espoir d'apprécier ses autres œuvres,
mais celle-ci c'était une petite déception. Petite, parce que la
fin était quand même géniale et digne de l'auteur qui l'a écrite.
J'ai
mis la note de 2,5/5 à ce roman.
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